16/04/2015. La remise des prix des doctorants de l'ONERA s'est déroulée le 10 avril 2015, à centre de Palaiseau. Quatre doctorants en fin de thèse ont été récompensés, soit un par branche scientifique. Chaque année, au printemps, le prix des doctorants est attribué à un thésard en fin de
La branchePhysique garde encore l'empreinte de celui qui en fut le directeur de 2003 à 2010. Ceux qui l'ont connu me l'ont décrit comme un esprit libre, ouvert et doté d'une insatiable curiosité
En 2003, il deviendra Directeur de la branchePhysique où il supervisera d'un point de vue scientifique 4 départements et plus de 350 personnes. En octobre 2010, il sera nommé Directeur Scientifique Général
Les qualités scientifiques et managériales de Pierre lui ont permis de diriger le département de Mesures physiques de l'ONERA jusqu' en 2011, puis d'assurer la direction scientifique de la branchePhysique jusqu' en 2016. De 2013 à 2015, Il a également assuré l'intérim de la Direction scientifique générale de l'ONERA, au cours duquel il a piloté la construction collective du premier plan stratégique scientifique de l'ONERA
C' est l'équipe projet de Manuel Rodrigues du centre ONERA de Châtillon qui a mené la réalisation de l'instrument depuis 2004, sous la direction scientifique de Pierre Touboul, directeur scientifique de la branchePhysique de l'ONERA et Principal Investigateur (PI) de la mission scientifique. 10 années, voire 15, si l'on ajoute les travaux de conception préalables à la réalisation, puis la qualification, ont été nécessaires, pour un budget de 15 M euros
En 2003, il devient Directeur de la branchePhysique où il supervise d'un point de vue scientifique 4 départements et plus de 350 personnes. En octobre 2010, il continue d'évoluer à sein de l'Onera où il est nommé Directeur Scientifique Général.A ce titre
Pierre Touboul est directeur scientifique de la branchePhysique à l'ONERA. Il est également PI (Principal Investigator =responsable scientifique) de la mission Microscope
"Jusqu' à présent, les lasers que nous utilisions présentant les puissances nécessaires à ces mesures envoyaient une impulsion toutes les 10 millisecondes, indique Emmanuel Rosencher, directeur scientifique de la branchePhysique à l'Onera. Or, les phénomènes de turbulence, qui restent l'un des grands mystères de la physique fondamentale 2, ont lieu dans des temps beaucoup plus courts que la milliseconde